Un malaise, des mélèzes. En société, sourire craqué. La barrière des gens, la clôture de l’autre, le filtre sentimental, l’honnêteté tamisée en grains de solitude regrettée. Elle valse dans la foule comme la brise du désert, une dune érodée de bonnes intentions. Dans le cou où dans le coin, dans la boue où dans le foin, dans le vide où dans le trou, lucide ou bien fou? Je surf sur la vague de sa couette ensoleillée, éperdument perdue dans l’abysse de son regard. Tous flous sauf un, illuminé par le rire timide de Chronos qui s’en moque. Elle marche à tâtons, palpe l’air de son ombre fuyante et construit le confort dans la chaumière de son âme.
« la poésie, c’est beurrer un pouce de nutella sur ses toasts le matin »
« je suis Page 53! »
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